Opérations en direct

• Le dernier des trois navires problématiques a été retiré avec succès du milieu marin à Bridgewater, en Nouvelle-Écosse.
• Le Hannah Atlantic a été démantelé et retiré du site.
• Les travaux se poursuivront au cours des prochaines semaines pour assainir et nettoyer complètement le site.
• Nous demandons au public de continuer d’éviter la zone quand le personnel et les entrepreneurs de la Garde côtière canadienne (GCC) sont sur place.
• Tout membre du public témoin d’un incident de pollution marine ou d’un danger maritime est prié de le signaler à la GCC au 1-800-565-1633.

• Le deuxième des trois navires problématiques a été retiré avec succès du milieu marin à Bridgewater, en Nouvelle-Écosse.
• Le Cape Rouge a été déconstruit et retiré du site.
• On poursuivra les travaux pour démanteler le Hannah Atlantic, l’éliminer en toute sécurité de la zone, et nettoyer le site.
• Pour des raisons de sécurité, nous demandons au public d’éviter la zone pendant que le personnel et les entrepreneurs de la Garde côtière canadienne (GCC) sont sur place.
• Tout membre du public témoin d’un incident de pollution marine ou d’un danger maritime est encouragé à le signaler à la GCC au 1-800-565-1633.

D’autres mises à jour seront fournies dès qu’elles seront disponibles et à mesure que les travaux progresseront.

• Le premier des trois navires problématiques a été retiré avec succès du milieu marin à Bridgewater, en Nouvelle-Écosse.
• Le Rupert Brand VI a été démantelé et retiré du site en plusieurs morceaux au cours des dernières semaines.
• Les travaux se poursuivront au cours des prochains mois afin de retirer de la région les navires Hannah Atlantic et Cape Rouge et de nous en débarrasser en toute sécurité.
• Pour des raisons de sécurité, nous demandons au public d'éviter la zone quand le personnel et les entrepreneurs de la Garde côtière canadienne (GCC) seront sur place.
• La GCC remercie la communauté de sa coopération pendant toute la durée des travaux sur cette vaste opération.
• Tout citoyen témoin d'un incident de pollution en milieu marin ou d'un danger maritime est prié de le signaler à la GCC au 1-800-565-1633.

D'autres mises à jour seront fournies dès qu'elles seront disponibles et à mesure que les travaux progresseront.

• Des travaux sont en cours à Bridgewater (Nouvelle-Écosse), pour retirer trois navires problématiques du milieu marin.
• Le Hannah Atlantic, le Cape Rouge et le Rupert Brand VI sont dans la région depuis un certain nombre d'années et montrent tous des signes de délabrement.
• Cette opération devrait durer environ six mois et comprendra la récupération de tous les polluants en vrac, et des matières dangereuses, le cas échéant, l'enlèvement sur place de chaque navire, et l'assainissement du site.
• Nous demandons au public d'éviter la zone une fois que la GCC est sur place, pour des raisons de sécurité.
• Tout membre du public témoin d'un incident de pollution marine ou d'un danger maritime est prié de le signaler à la Garde côtière canadienne au 1-800-565-1633.

D'autres mises à jour seront fournies dès qu'elles seront disponibles et à mesure que les travaux progresseront.

• La GCC confirme que la source de pollution provient d’un émissaire pluvial qui se déverse dans le fleuve Saint-Laurent.
• La GCC, qui agissait jusqu’alors comme commandant d’intervention sur ce cas, transfert le commandement au Gouvernement du Québec, via le ministère de l'Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP), puisque la source de la pollution n’est pas maritime.
• Si le Gouvernement du Québec en fait la demande, via une demande d’assistance fédérale officielle, la GCC agira en support au MELCCFP afin de poursuivre la récupération des hydrocarbures qui ont été déversés dans les eaux du fleuve Saint-Laurent.
• Pour plus d’information sur la suite de l’intervention, veuillez communiquer avec le MELCCFP.

• Le jeudi 25 juillet, la Garde côtière canadienne (GCC) a reçu un rapport confirmant une nouvelle nappe d’huile à la Marina de Pointe-aux-Trembles.
• La GCC a remobilisé des effectifs sur les lieux. Des estacades sont déployées, un camion d'aspiration permettant de récupérer les eaux souillées est sur place et des absorbants sont également disposés dans l'eau.
• La GCC a déployé un support aérien à l'aide d'un drone et d'un hélicoptère pour évaluer la situation.
• Pour accélérer les efforts d'intervention initiale, la GCC a mobilisé la compagnie Urgence Marine Environnement à nouveau, qui est sur place. La GCC a également été en contact avec Urgence Environnement Québec, le ministère de l'Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP), Environnement et Changement climatique Canada (ECCC) et le ministère de la Sécurité publique (MSP).
• La source est inconnue actuellement, mais la GCC continue à collaborer avec le MELCCFP et ECCC à cet effet.
• Pour ce cas d’intervention environnementale, le mandat de la GCC est de mettre en place les mesures nécessaires pour assurer la sécurité du public et protéger et nettoyer l’environnement.

• Les résultats des observations aériennes des derniers jours confirment qu’il n’y a aucune autre contamination visible dans le secteur et qu’il ne reste plus de trace d’iridescences visibles dans les confinements.
• En tout, 19 000 litres (mélange d’eau et d’hydrocarbures) ont été récupérés lors des opérations, qui contenaient approximativement 1 000 litres d’hydrocarbures.
• Lors des derniers jours, nos équipes ont terminé les opérations de nettoyage des herbiers
• Les agences environnementales ont évalué la qualité du nettoyage vendredi matin (19 juillet). Le résultat indique que le nettoyage est satisfaisant et que nos équipes vont pouvoir se démobiliser en vue de la fin de l’intervention, en début de semaine.
• Les étapes de la démobilisation comportent :
  • le retrait des estacades et autres matériels utilisés lors de l’intervention;
  • la décontamination de ce matériel;
  • la disposition des déchets générés en respect des règles de gestion des matières résiduelles;
  • le retrait final de nos équipes.
• L’ enquête n’a pas permis de déterminer la source de la pollution.

• Aujourd’hui, 14 juillet, la GCC poursuit la récupération des hydrocarbures et la décontamination des herbiers et du rivage. Les opérations se déroulent bien et beaucoup de progrès a été fait.
• En date de ce matin, 14 juillet, un total de 14 000 litres (mélange d’eau et d’hydrocarbures) ont été récupérés.
• La GCC continue de nettoyer les embarcations des plaisanciers sur lesquelles on y retrouve des hydrocarbures, avec l’aide d’une station de décontamination et l’appui de la compagnie Urgence Marine Environnement.
• La GCC poursuivra aussi l’enquête avec des partenaires pour tenter de confirmer la source de la pollution.
• Un avis de réduction de vitesse dans le secteur des opérations pour la navigation de plaisance et commerciale est toujours en vigueur pour réduire l'impact des vagues sur les barrières flottantes confinant la pollution.

D’autres mises à jour seront fournies au fur et à mesure qu’elles seront disponibles et que la situation évoluera.

• Les résultats des observations en hélicoptère du 12 juillet confirment qu’il n’y a aucune autre contamination visible sur les îles dans le secteur, ni sur les rives nord et sud du St-Laurent entre Verchères et le pont Jacques Cartier.
• L’observation à partir de drones a aussi confirmé que la pollution est bien confinée dans la zone de récupération.
• Aujourd’hui, 13 juillet, la GCC poursuivra la récupération des hydrocarbures et débutera la décontamination des herbiers et du rivage.
• La GCC procédera aussi au nettoyage des embarcations des plaisanciers sur lesquelles on y retrouve des hydrocarbures, avec l’aide d’une station de décontamination et l’appui de la compagnie Urgence Marine Environnement.
• La GCC poursuivra aussi l’enquête avec des partenaires pour tenter de trouver la source de la pollution, qui demeure inconnue.
• L'interdiction de navigation dans le secteur a été levée, et a été remplacée par un avis de réduction de vitesse dans le secteur des opérations. La réduction de vitesse s'applique à la navigation de plaisance et commerciale pour réduire l'impact des vagues sur les barrières flottantes confinant la pollution.

D’autres mises à jour seront fournies au fur et à mesure qu’elles seront disponibles et que la situation évoluera.

• Des équipes de la Garde côtière canadienne (GCC) étaient sur place toute la journée et ont procédé à activement contenir la nappe et à récupérer le polluant, qui, selon les analyses du Ministère de l’Environnement, de la lutte aux changements climatiques et de la faune et des parcs du Québec, s’est révélé être de l’huile à moteur usée.
• En date de 13 h, le 12 juillet, la GCC avait récolté un mélange d’eau et d’hydrocarbures d’un volume de 3000 litres et par 17 h, un total de 7000 litres.
• Des hélicoptères ont effectué des vols de surveillance pour voir s’il y avait présence d’hydrocarbures ailleurs dans les environs.
• La source de provenance ainsi que la quantité de produit formant la nappe demeurent toujours inconnues. Les démarches pour les confirmer sont toujours en cours.
• L’enquête sur l’incident se poursuit; les opérations de récupération sont terminées pour la journée et débuteront à nouveau tôt demain matin.

Conseils pour le public

• La GCC rappelle au public de ne pas s’approcher de la nappe de pollution.
• La GCC recommande aux propriétaires d’embarcations souillées de demeurer sur place afin de s’assurer qu’elles seront nettoyées. Ce faisant, vous ne transporterez pas la pollution lors de vos prochains déplacements sur l’eau.

D’autres mises à jour seront fournies au fur et à mesure qu’elles seront disponibles et que la situation évoluera.

• Le jeudi 11 juillet, la Garde côtière canadienne (GCC) a reçu un rapport confirmant une nappe de pollution, de source inconnue, au large entre la 13e avenue et l’avenue du Tricentenaire, dans les environs de Montréal.
• La GCC a mobilisé des effectifs sur les lieux et a été en contact avec Urgence Environnement Québec qui est sur les lieux. Pour accélérer les efforts d'intervention initiale, la GCC a mobilisé la compagnie Urgence Marine Environnement qui a déployé des estacades pour contenir le déversement.
• La GCC travaille avec l’entrepreneur pour l’élaboration d’un plan de réhabilitation du rivage pollué et a contacté le Service canadien de la faune à Environnement et Changement climatique Canada (ECCC) au sujet des oiseaux souillés observés dans la région.
• La GCC enquête actuellement sur l’incident avec ses partenaires afin d’identifier la source de pollution et procède activement aux opérations de récupération.
• La GCC conseille au public de ne pas s’approcher des nappes de pollution.

D’autres mises à jour seront fournies au fur et à mesure qu’elles seront disponibles et que la situation évoluera.

• La Garde côtière canadienne (GCC) continue de surveiller, de contenir et de récupérer la faible quantité de pollution et de débris provenant des navires coulés dans la zone de confinement.
• La GCC restera sur place afin de contrôler la pollution provenant des épaves submergées jusqu’à la fin des opérations de renflouement.

Plan de renflouement

• En date du 17 juillet, la compagnie d’assurance a octroyé un contrat de renflouement à un nouvel entrepreneur.
• Le nouveau plan de renflouement a été reçu, évalué et approuvé.
• La GCC s’attend à ce que la barge, qui servira de plateforme de travail pour le renflouement des épaves, arrive à Grande-Entrée le lundi 22 juillet.
• Les opérations de renflouement sur le site débuteraient peu de temps après et devraient nécessiter une douzaine de jours pour être complétées. Des imprévus ou des facteurs météorologiques pourraient avoir un impact sur la durée des travaux.

• La Garde côtière canadienne continue de surveiller et de contenir la faible quantité de pollution et de débris provenant des navires coulés dans la zone de confinement.
• À cause de la pluie survenue dans la nuit du 9 juillet, le dernier navire qui demeurait à flot a partiellement sombré, occasionnant un nouveau rejet d’hydrocarbure dans la zone de confinement. Ce rejet a été récupéré.
• Des plongeurs ont effectué une inspection le 9 juillet, et des discussions sont en cours pour évaluer la situation selon les observations du rapport des plongées.

Plan de renflouement

• En date du 10 juillet, l’entrepreneur désigné pour faire le plan de renflouement s’est retiré des opérations.
• La Garde côtière canadienne attend que les assurances désignent un nouvel entrepreneur, qui fournira un nouveau plan. Une fois soumis, ce plan sera étudié par la Garde côtière canadienne et ses partenaires. Lorsque les enjeux auront été adressés et que le plan aura été accepté, il pourra être mis en place.
• Entre-temps, nous demeurerons sur le site pour continuer les opérations de contrôle et de récupération des polluants et débris à l’intérieur de la zone de confinement.

• La récupération des débris et des polluants est toujours en cours.
• Une nouvelle observation aérienne a confirmé qu’il n’y a pas de pollution à l’extérieur des barrages flottants.
• Dans l’après-midi du 2 juillet, la Garde côtière canadienne a effectué une mission d’observation maritime. Quelques débris ont été observés sur l’île du Chenal et sur la dune du Sud.
• Nous continuons de travailler avec nos partenaires fédéraux et provinciaux pour évaluer la situation et déterminer les prochaines étapes.
• Il s’agit de la dernière mise à jour communiquée par la Garde côtière canadienne sur l’état de la situation, à moins qu’il n’y ait un changement important.

• La récupération des débris et des polluants est en cours au havre de Grande-Entrée, aux Îles-de-la-Madeleine.
• La pollution actuelle est contenue grâce à des barrages flottants dans l’eau.
• Des observations du rivage par des partenaires ont relevé la présence de débris, mais pas de pollution.
• D'autres survols aériens sont prévus aujourd'hui.
• La ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne, Diane Lebouthillier, a visité le site le 1er juillet en milieu d’après-midi.
• La cause de l’incendie n’a pas encore été déterminée.
• Nous continuons de travailler avec nos partenaires fédéraux et provinciaux pour évaluer la situation et déterminer les prochaines étapes. 

• La Garde côtière canadienne (GCC) confirme qu'un 4^e des 5 bateaux affectés par le feu a coulé hier soir, 30 juin.
• Une équipe d'intervention environnementale de la GCC est arrivée sur les lieux en fin de journée hier, le 30 juin, et une autre est en route aujourd'hui, 1^er juillet.
• Des observations aériennes ont été effectuées hier. Selon les premières analyses, la quantité estimée de polluant dans l'eau se situe entre 18 à 220 litres d'hydrocarbures. Toutefois, le confinement a été complété hier et les hydrocarbures sont maintenant confinés aux alentours du quai.
• La récupération du polluant et des débris devrait débuter aujourd'hui.
• Les pêcheurs non affectés par l'incendie ont pu sortir pêcher aujourd'hui.
• La GCC continue de collaborer avec des partenaires fédéraux et provinciaux pour évaluer la situation et déterminer les prochaines étapes.

D'autres mises à jour seront fournies au fur et à mesure qu'elles seront disponibles et que la situation évoluera.

• La Garde côtière canadienne (GCC) a été avisée tôt le matin du 30 juin 2024 d'un incendie à bord d'un bateau de pêche au port de Grande-Entrée, aux Îles-de-la-Madeleine. L'incendie s'est propagé à quatre autres bateaux de pêche adjacents. Trois des cinq bateaux ont coulé.
• L'incendie est actuellement maîtrisé.
• La GCC confirme qu'il n'y avait personne à bord des embarcations, et donc, qu'il n'y a aucun blessé.
• La cause de l'incendie est toujours indéterminée pour l'instant.
• Il y a un risque de pollution. Une équipe d'intervention environnementale de la GCC est en déplacement pour se rendre sur les lieux aujourd'hui.
• Pêches et Océans Canada (MPO) est aussi sur place et partage de l'information en temps réel dans l'intervalle. La station recherche et sauvetage de la GCC à Cap-aux-Meules, à 30 km au sud, est prête à prêter main-forte au besoin.
• La GCC collabore avec des partenaires fédéraux, provinciaux et municipaux pour évaluer la situation et déterminer les prochaines étapes.

D'autres mises à jour seront fournies au fur et à mesure qu'elles seront disponibles et que la situation évoluera.